Freehand New York

Bienvenue au Freehand New York, un établissement carrément team planète ! Bacs de tri et de recyclage des déchets et lutte contre le gaspillage alimentaire sont des exemples d'actions mises en place pour rendre votre séjour durable. L'utilisation de plastique à usage unique est interdite au sein de l'établissement. Les toilettes et douches sont économes en eau. Les clients ont le choix de refuser le ménage quotidien et de réutiliser leurs draps et serviettes. Les éclairages sont LED et on trouve du double-vitrage sur toutes les fenêtres. La nourriture proposée est majoritairement locale. Le bar à cocktails du Broken Shaker surveille de près ses déchets en supprimant les plastiques et en (ré)utilisant presque tous les produits périssables.

Hôtel favori des écrivains et apprentis poètes dans les années 30, il était tout naturel de rendre au lieu sa créativité passée. Esquisses et sculptures originales, revues d'art sur papier glacé et fresques murales peintes à la main par des artistes résidents font de l'hôtel un lieu immersif terriblement bien pensé. De quoi réveiller l'artiste qui sommeille en vous ! Mais le Freehand vous aide aussi à vous immerger dans la ville : vous trouverez des suggestions sur un panneau dans le hall d'entrée, et l'équipe a de nombreux bons plans originaux.

L'hôtel surfe sur l'histoire du bâtiment et a mis en place un partenariat avec le Bard College pour exposer les œuvres des étudiants en art. Des bourses sont également offertes aux artistes dans le but de soutenir leur carrière artistique et leur permettre de vivre, travailler et exposer à l'hôtel pendant un an. Le Freehand NY investit un certain pourcentage de ses revenus dans des projets communautaires et durables. Il informe ses clients quant à la culture, au patrimoine et aux règles de savoir-vivre en vigueur.

Vous n’êtes loin de rien, surtout pas du Flatiron que vous pouvez même aperçevoir de vos fenêtres. Les lignes de métro tout autour vous font perdre la tête mais à pied on vous recommande d'assister à un concert au Gramercy Theatre, bronzer au soleil sur les marches de Union Square, ne surtout pas rater la dernière expo photo du New Museum et prendre de la hauteur sur la High Line.

Vous aurez le choix entre six catégories de chambres, dont certaines imaginent une ambiance d'auberge de jeunesse plutôt haut de gamme, avec des lits superposés. Les chambres classiques ont toutes un joli bureau, clin d'oeil au passé de l’hôtel, les luminaires se règlent sur mesure et beaucoup de détails font la différence : vue surprenante, ports USB intégrés, paniers suspendus remplis de cartes postales et radio Bluetooth Tivoli. Et la déco est joliment casual chic.

Deux maîtres d'oeuvres pour le Simon & The Whale : Matt Griffin fait partie de ces chefs qui n'ont plus rien à prouver et cuisinent pour le plaisir. Et Gabriel Stulman, restaurateur passionné, est considéré comme le maire du West Village. Tous les deux ont projeté au Simon & The Whale l'intimité de chez soi combiné à ce petit plus qu'on trouve lorsqu'on voyage. Les fenêtres panoramiques vous donnent l'occasion d'observer l'effervescence de la rue et la carte entre terre et fruits de mer vous fera succomber.

Vous pouvez décider d'échanger de vive voix avec la conciergerie ou vous la jouer perso sur des bornes à dispo. ce qui n'empêche nullement le personnel de vous rendre service. Ni les chambres d'être d'une propreté irréprochable. On vous garde mêmes vos bagages le dernier jour sans aucun frais.

Où vagabonder dans l’hôtel ? Au Studio, pour chiller dans l'aprèm et profiter d’un café au soleil. Dans l'un des deux bars, selon son mood : intime et sophistiqué au George Whashington ou plus déjanté au Broken Shaker. Les tapis de course de la salle filent à toute vitesse, des jeux vintage sont à dispo des plus nostalgiques et une boutique rendra accro les shopping-addicts.