Simon Brazeilles
Agent secret, archéologue, cascadeur professionnel : depuis tout petit, Simon a un nombre infini de dream jobs. N'importe quoi qui le ferait voyager à travers le monde. Ou alors il a un peu trop regardé Alias et Tomb Raider. En attendant de faire tout ça (oui, TOUT CA !), c'est un journaliste et rédacteur web qui dépense sa thune dans des voyages dès qu'il en a l'occasion. Il a toujours besoin de mouvement : alors qu'il est obligé de vivre dans une grande ville pour survivre (ah, le traumatisme d'avoir grandi dans un village landais de 700 habitants...), ce sont les paysages naturels grandioses qui l'attirent le plus en voyage. Une quête d'aventure constante qui l'amène parfois à se retrouver bloqué sur une aire d'autoroute chinoise ou bien à partir en bus de nuit à Londres sur un coup de tête, juste pour un concert. Son excuse ? C'est quand même mieux que Duolingo pour pratiquer les langues ! Son rêve le plus fou reste de découvrir la Chine dans sa totalité. "Impossible, il te faudrait une vie", lui a dit une inconnue rencontrée dans un bus à Guilin. On verra bien ! En dehors de ça, il est passionné de musique psyché et de cinéma, de genre notamment. Ah, voici d'autres dream jobs : DJ à Berlin, producteur de synth-wave sur la route 66 et scénariste de films d'horreur à Hollywood. Un tout petit peu plus réalistes ceux-là.
Comme à la maison ! Au cœur du quartier français de Haidhausen, cet hôtel vous donnera l’impression de ne jamais avoir quitté l'hexagone. Pratique pour celles et ceux qui auraient le mal du pays de temps à autres ! Récemment ouvert (en 2019, précisément !), il fait resplendir le turquoise propre aux hôtels du groupe Motel One. Du bar à gin en passant par les rideaux des chambres, la couleur est omniprésente sur les lieux. Promis, on s’y fait vite. On en vient même à l’apprécier plus que de raison ! Tous les soirs, avant de planifier vos visites pour le lendemain, vous pourrez vous référer aux superbes œuvres d’art du Français Cyril Mariaux, plus ou moins cachées à travers l’hôtel, des chambres au lobby. Entre illustrations et collages, elles représentent différents lieux du quartier de Haidhausen, pour l’instant bien trop peu connu, au sud-est de la ville. Faites donc ça au bar, il est absolument splendide ! Asseyez-vous dans un fauteuil des plus confortables, prenez-vous un verre en faisant le débrief de la journée et planifiez le lendemain dans la plus chaleureuse des atmosphères. Allez, l’Orleansplatz et la Belfortstraße n’attendent que vous !
Du turquoise par-ci, du turquoise par-là : telle est la marque de fabrique du groupe Motel One, et ça ne loupe pas dans cet hôtel branché. Ça tombe bien, le turquoise, c’est votre couleur préférée. Comment ça, ça ne l’est pas ? Faites tout comme, au moins pour nous faire plaisir. Où que votre regard se posera, vous serez confronté à cette fameuse teinte de bleu. Votre introduction à cette couleur si tendre se fera sûrement dès la réception, où deux fauteuils turquoise sont placés juste en face. Si jamais l’attente se fait trop longue, vous aurez de quoi vous asseoir. Dans les chambres assez intimistes et minimalistes, il s’agira de vos taies d’oreiller et de vos rideaux. Sur la terrasse très sympathique pour prendre un verre (et plus, si affinités), ce sont quelques touches de turquoise sur les coussins qui vous rappellent où vous êtes. Mais notre espace préféré dans cette couleur, ça reste tout de même le bar à gin illuminé en turquoise, vintage et chic, promettant une ambiance digne des plus beaux endroits branchés de New York. Si jamais vous rentrez tard, vous pourrez toujours y prendre un verre puisque celui-ci est ouvert 24 heures sur 24. Vous savez quelle est sa devise ? « It’s always gin o’clock » ! Et on ne saurait lui donner tort. Wink wink.